Ecrire les yeux ouverts sur l’état passif
qui reprend les
décombres du regard sur l’ensemble.
Retrouver en son foie l’hécatombe de
toujours rester lucide.
Car c’est ainsi que l’esprit dicte sa pénombre
dans
l’enceinte de l’ennui.
Parler encore à la troisième personne de l’autre
place qui s’étend sous la peau lancinante. Les palpitations de l’encre sur la
page couvrent les pores béants du mensonge.